samedi 2 novembre 2013

Le 5ème séminaire international : Développement durable Santé, solidarités, territoires

l'université ferhat abbas de sétif,
l'université de Haute-alsace, l'université de strasbourg 
le réseau euro-méditerranéen de recherche 2dlis
l' école doctorale et le laboratoire pieem de la faculté des sciences 
économiques, Commerciales et sciences de Gestion de sétif
avec le soutien de l'institut français d'algérie

santé, solidarités, territoires
Le séminaire «Développement durable : Santé, 
solidarités, territoires» à pour objectifs :

Faire l’état des lieux entre développement durable et santé moins 
sur le plan médical et technique que sur celui des solidarités (familiales, 
locales et nationales) et des liens sociaux dans un territoire.

Analyser le rôle de nombreux acteurs intervenant au carrefour du 
développement durable, des politiques de santé publiques, ainsi que leur forme 
de coopération et de coordination. On peut la qualifier de gouvernance territoriale, 
mais en évaluant ses modalités et son fonctionnement selon le critère démocratique 
de l’inclusion et de la participation de tous. On peut qualifier (cette coordination) de 
volet de gouvernance territoriale.

Interroger l’échelle territoriale pertinente pour mettre en cohérence une politique de 
santé publique et une politique de développement durable.
S’il y a une place pour des contributions à caractère théorique, la priorité va aux études de 
cas concrets analysant les écarts entre les objectifs visés et les résultats obtenus :
par exemple :
 L’analyse du projet de développement durable d’un territoire et ses effets en matière de 
santé.
 La présentation et l’évaluation des résultats d’un projet innovant associant des objectifs de 
développement durable et de santé.
 Des analyses historiques, des comparaisons internationales (ou entre territoires plus 
restreints), des perspectives interdisciplinaires ou transversales sont encouragées et 
souhaitées, si elles portent sur l’articulation entre développement durable et santé.
les contributions doivent s'inscrire dans l'un des axes suivants :
 préservation de la santé, production et gestion des ressources dans un territoire
 les expériences visant à concilier la production alimentaire de masse et sa qualité
 les effets des nouvelles formes d’agriculture et/ou de jardinage urbain
 la réutilisation des sols gravement pollués par l’industrie
 l’efficacité des mesures de protection des écosystèmes fragiles.

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